plasties brachiales: la peau “pendante” des bras doit être enlevée au prix d’une longue cicatrice qui va de l’aisselle au coude à la face interne du membre ; cette cicatrice a souvent une tendance à l’hypertrophie et peut être visible pendant longtemps (1 à 2 ans). Les plasties limitées à l’aisselle
plastie bracchiale axillaire ont un résultat sans doute moins performant mais éliminent tout risque de visibilité cicatricielle (sauf en élévation complète des bras) , la cicatrice occupant transversalement l’aisselle ; elles ont l’intérêt secondaire d’éliminer une grande partie des glandes sudoripares, de ne nécessiter qu’une journée d’hospitalisation et un arrêt d’activité de quelques jours.
Si le bras est très infiltré de cellulite, une liposuccion circulaire est envisageable mais les risques d’irrégularités sont relativement importants sauf pour les peaux jeunes et élastiques. Le port d’un vêtement compressif, bien que possible, est ici assez inconfortable et peut être évité si l’on accepte une phase d’œdème plus prolongée..
L’hospitalisation est en général d’une journée et la convalescence courte.
Enfin pour les cas très limités ou les patients refusant toute idée d’intervention il est possible de réduire l’épaisseur de graisse par lipodissolution par injection de phosphatidylcholine (1 à 3 séances séparées de 2 mois) ou d'accentuer la rétraction cutanée par des séances de radiofréquence à l'effet parfois remarquable. |